Emblemes de la 6e Cuirassiers

Je suis confus. Les profils à l'excellent travail de Eric Barbanson (1re Le DLM au combat 1939-1940) indique les Panhard 178s du 6e cuirassiers comme portant des symboles de cartes de jeu avec un fond bleu. Pascal Danjou (TRACKSTORY 2 et 14) indique ces marques comme étant noir et rouge fondée sur le témoignage d'un ancien combattant. Photos des 178s premiers modèles semblent montrer un accord tonale entre le bleu de la cocarde et le fond des diamants a Barbanson. Ce qui est correct?

Quand j'ai monté ma Panhard 178, Pascal Danjou m'a convaincu que son interprétation était la bonne (témoignage d'un ancien du 6ème Cuir à l'appui).

Jean-François

Jean-Francois
Je accepte le témoignage est très crédible, mais dans la recherche de mon livre, je ai appris à toujours aller pour la vérification si je pouvais plutôt que de compter sur le témoignage pur. Le problème ici est que les photos ne sont pas Sauvegarde du témoignage. Les couleurs de la cocarde sont connus avec certitude. Sur le type de film utilisé notamment la bande rouge est presque noir et presque invisible. Les origines des emblèmes ne sont pas si et en fait correspondent tonalement le bleu de la cocarde. Je ne suis pas convaincu par l'interprétation de Eric Barbanson de brun et de vert, mais pense qu'il ya un cas pour des fonds bleus. Je espère que Pascal Danjou peut commenter ici et éclaircir la question.
cordialment
Christopher

Que veux tu que je rajoute ?

Ce que j'ai écris dans mon livre est la transcription des témoignages que j'ai recueilli.

Je te rappel une règle immuable dans nos recherches à tous, les derniers écrits sont le reflet des dernières découvertes (encore que si tu avais lu le Trackstory n° 2, tu ne te poserais pas ce genre de question).

Bref, la vision règlementaire est celle qui est qui est exposée dans le l'excellent livre d'Erik. Ce que j'ai écrit est digne de foi.

Et surtout il faut cesser de chercher des couleurs à partir de photos noir et blanc, c'est juste impossible mêmme en connaissant le type de pellicule, l'heure de la prise de vue, le taux d’ensoleillement, la méthode de développement, le type de papier utilisé pour les tirages, le temps d'immersion dans les différents bains, etc...

Et il faut aussi cesser de me demander de me justifier ou d'éclaircir ce que j'ai écrit, comme si j'avais l'habitude d'inventer les choses, m'enfin...

Donc pour moi, les choses sont claires. Maintenant si tu doute de ce que j'écris, n'en tiens pas compte. et pour les camouflages ils sont aussi décrits dans le Trackstory.

Pascal

Pascal
Merci pour votre réponse
Je ne essaie pas de critiquer ou de vous prouver le contraire dans ce. Mon objectif est, si possible, afin de clarifier de la situation réelle. Je ai TRACKSTORY  2eme mais cela ne clarifie pas la question spécifique. Le témoignage de l'ancien peut être très utile, mais après un long passage du temps, il peut être confondu avec en particulier sur les détails. Ce est un processus naturel et ne est rien à voir avec la véracité. Je suis tombé sur cette question très dans ma recherche pour (le témoignage est un vétéran concernant les détails de la plupart des régimes de camouflage des destroyers ne correspondaient pas aux photos réelles) 'The Kelly's'. Ce est pourquoi je comptais plus sur les photos et les documents originaux si je peux, mais comme vous le notez ceux-ci ont aussi leurs inconvénients.

Avec les photos des Panhard 178s si je ne cherche pas pour les couleurs en tant que telles, mais des variations tonales. Ce est assez différent. Rouge sera similaire de ton dans une photo en noir et blanc, peu importe où il est et où l'angle de la lumière est. Si son ton apparaît en noir en un seul endroit, il apparaîtra noir dans un autre endroit sur la photo. Ce est la façon dont ces émulsions de film ont travaillé. Pour identifier les différentes nuances est beaucoup plus problématique et voici les facteurs que vous mentionnez sont importants. Toutefois, ici, je suis à la recherche sur les variations au sein d'une photo et ne compare pas des photos différentes.

Enfin, je dois me excuser si je ai causé infraction. Je ne conteste pas votre intégrité à tous égards. Je suis très familier avec vos travaux et je vois très clairement que vous êtes un chercheur des normes les plus élevées. Cependant, je ne crois que poser des questions et en diffusant des interprétations différentes possibles est la bonne façon de procéder. Un débat ouvert est le meilleur. Cela ne signifie pas une fois de plus ce est une critique, mais en tant que chercheurs, nous avons besoin d'allouer plus de poids aux sources primaires qui dans ce cas seraient des photos. Que par le partage fait des progrès de la connaissance.
Christopher