Merci Alain pour cette belle page d'histoire et ce témoignage poignant de "l'intérieur" sur les préparatifs, la bataille et la "pagaille" qui s'ensuit, sur les errements et les incertitudes de l'Etat major et sur les "mutineries"...
"le Général est nerveux, en colère, il s'agite...."
je ne savais pas pour les "banderoles allemandes" qui annonçaient, "venez, nous vous attendons", mais effectivement, pour les Poilus qui allaient monter, ce n'était guère encourageant...
tristes histoires, il y a déjà 100 ans....
la Der des Der qu'on a dit, à l'époque...
Pascal