Nos Dernières Acquisitions

en tous les cas, il semble "décontracté" !!...
il est vrai qu'un peinture sympa fait ressortir des détails...
affaire à suivre !!

Pascal

C'est p'tet pas l'bon endroit, piski sont destinés à rejoindre des chars en cours, mais vla la peinturation des tankmen:






Finalement, camo russe ou ukrainien, kif-kif. J'ai potasse un peu le net, les russes ont développé plein de camos divers, plus ou moins répandus, le dernier est un "pixel" vert et vert qui donne une teinte uniforme vert clair à notre échelle préférée (pas sympa, ça)
Pour les ukrainiens, ils ont leurs propres développements,  le dernier en date (MM14) est lui aussi un pixel (décidément, les devs sont pas sympas avec les figurinistes, devraient comprendre que c'est pas facile facile à notre échelle), mais ils utilisent aussi tout ce que leurs alliés leur ont fourni, plus les appros anciennement soviétiques, et les fournitures persos...les possibilités deviennent infinies ! (pas comme l'aide qu'on leur apporte, malheureusement).

Bonsoir Fifi2000,
super des tenues mouchetées.
D'où viennent tes troupes ?
Belle soirée

pinceau "1 poil"???

Sinon, il semble me souvenir que ce sont des figs 3D de chez Modelltrend dont je disais pas beaucoup de bien de par leur manque de relief ou de "définition"....
Comme quoi, lorsque l'on sait peindre, on arrive à tirer la quintessence de nos sujets !!...


Pascal

Oui, ce sont bien les FC Modelltrend reçues récemment (voir page précédente).
Une sous-couche grise ou verte (marron pour les visages), ensuite une couche légère gris-vert ou vert, et pour les mouchetures, un vieux pinceau à poils très courts et une main TRES légère pour déposer une peinture presque sèche (c'est presque du drybrush), le tout accompagné de lunettes-loupes.
Pour les visages, pas de dégradé savant, juste le pinceau 3/0 et du Humbroll 61 déposé sur le front, le nez, les pommettes et le menton (et les lèvres quand je ne tremble pas trop )

Je viens de recevoir les "3" Crusader dont je parlais ici :
https://minitracks.1fr1.net/t18194-maquettes-et-peintures-par-lots

Voici :


...3 en sachets (dégrappés, mais c'était dit dans l'annonce) plus 2 déjà montés.

Je crois que c'est suffisamment rare d'obtenir plus que ce que l'on achète pour pouvoir être signalé ici.
Il reste encore pas mal de lots en vente, si cela vous tente, il ya des B1bis (Matchbox), des Jeep, des Half-tracks...et pas mal d'avions.
Certains sont montés, le propriétaire devait faire du Wargame...

Salut a tous 

Je remercie l'ami Philou,il savait que je recherchais ces deux kit ,les a trouvé et a pensé a son pote

[u

L'ouvre boîte du 105 htm2 et son montage m'intéresse.
Ace étant la seule marque à faire ça, malheureusement avec un traitement ... Ace.

Salut
Je te fais ça demain...

Ah, le 105 HM2... Le 93° RAM (Rgt d'Artillerie de Montagne, Varces) en avait en 1979, ils les ont gardés jusque dans les années 80. Sur la culasse, "Chicago, Illinois, 1942"...Tractés par des GMC, et escortés par des Half-tracks M16.
C'était 40 ans après la 2ème GM. Et c'était il y a 40 ans

Fifi, champion des commentaires inutiles

J'ai tiré avec en 1983

fifi2200 a écrit:

Ah, le 105 HM2... Le 93° RAM (Rgt d'Artillerie de Montagne, Varces) en avait en 1979, ils les ont gardés jusque dans les années 80. Sur la culasse, "Chicago, Illinois, 1942"...Tractés par des GMC, et escortés par des Half-tracks M16.
C'était 40 ans après la 2ème GM. Et c'était il y a 40 ans

Fifi, champion des commentaires inutiles

Heu, pas si vieux que ça... J'ai tiré en 90 avec le HT M16, et je conduisais encore un HT M16 en 95 pour l'amener au musée, et un M2 en 98 pour parader...

Merci
Bon comme d'hab un peu empâtés les pièces de ce canon.
J'ai un modèle alby que je n'ai jamais monté...
Mais il me semble plus fin.
Regret : dans les 2 cas, pas pneumatiques au profil civil.
Hors les 105 sont rarement visibles avec des "mud and snow" avant la fin de conflit.

J'ai également utiliser le HTM16 a munitions réelles, je l’ai déjà dis, je crois.

A ce propos.
HT et HT ne veulent pas dire la même chose (y sont marrants ces américains).

rafandusaaffan a écrit:

Regret : dans les 2 cas, pas pneumatiques au profil civil.
Hors les 105 sont rarement visibles avec des "mud and snow" avant la fin de conflit.

Ha bah oui tient!!! Maintenant que t'en parle, ça a fait tilt... Notre 105HM2 en Afrique avait des pneus à sculpture civil... Et celui en pot de fleur chez nous itou...

Ah bah tu vois, ça ne m'avait jamais traversé l'esprit... Le nez dessus, et pas foutu d'avoir vu ce détail...

Du coup, je viens de revérifier ma boite ACE du 105 M2A1 Early. (ref 72530) il a les bons pneus. A l'analyse, par contre, je les trouve beaucoup trop fin que dans mes souvenirs... Mais là, c'est peut-être moi... (oui, ça doit être moi... )

les roues Ace de ce canon sont plutôt moches je trouve.... On dirait ds copies des roues du GMC Hasegawa, c'est pour dire !!....

Pascal

bosco76 a écrit:

les roues Ace de ce canon sont plutôt moches je trouve.... On dirait ds copies des roues du GMC Hasegawa, c'est pour dire !!....

Pascal

Oh mais du coup, ça me donne une idée!!!!

J'ai vu en Février 1981 à Canjuers le 35ème RAP tirer avec des 105 HM2...
Ils avaient pour les tracter des GMC 352b1 chassis court ... Logique !
Joli comme en 44 !

Sylvain

Dernière acquisition pour moi
Direct de chez l'artisan "France 40 Productions"

Salut
Excellent ! par contre c'est au 1/35 ?

et ben oui du 1/35
je suis un "gros doigts"

C'est une tourelle de M31 (Lee/Grant Wrecker) qui est sur un bon vieux B1Bis...
il y avait concordances de "pas et de diamètres" entre les deux, française d'un côté et très américaine de l'autre ???

Ou bien est-ce un "what-if"... ???

Tu aurais un lien vers France 40 productions ?...

pASCAL

Bonjour,
Très surprenant !
En tout cas, je ne me souviens pas d'avoir vu une tourelle APX R avec canon SA 38 et diascopes Chrétien.
Atchao
Laurent

C'est normal Laurent
Ce char a été étudié par le groupement Fériaud

Pour mémoire:
L'armée Allemande a étonnement "levé le pied" dans le Sud de la France, rééditant son choix inexpliqué aux abords de Dunkerque.
Une ligne qui n'est plus une ligne de front, mais plutôt une ligne d'attente s'étend d'Arcachon à Briançon, en passant par Cahors, Aurillac, Le Puy, Privas, puis redescendant vers Alès, Nîmes, Avignon et Gap.
On ne note que quelques escarmouches.
Il semblerait que le Führer ai jugé une poursuite de l'offensive peu urgente étant donné la rapidité de l'avance Allemande depuis le début de la guerre.

Début Juin, malgré une certaine inertie des hautes sphères du commandement militaire, le lieutenant-colonel Fériaud obtient du haut commandement Français de mener à bien une mission inédite.
De longues heures de rendez-vous, d'innombrables rebondissements et de nombreux éclats de voix ont émaillé sa demande.
Cependant, sa force de caractère et la menace Allemande qui reste d'actualité lui ont permis de se faire entendre.
Il propose de bouleverser les stratégies en cours, de faire évoluer le matériel et d'insuffler de nouvelles méthodes de combat. Il réoriente en parallèle les productions des sites classés secrets.
Un décret en ce sens sera signé le 22 Juin 1940.

Dès lors, l'usine secrète située sous le Mont Ventoux redouble d'efforts. Face à la pénurie de matériel, le service de développement est contraint de réaliser certaines adaptations parfois hasardeuses, tel le canon de 47 TD (Tir Direct) embarqué sur les vétustes tracteurs Unic P 107. Celui-ci, limité en puissance, 62 chevaux, et en vitesse, seulement 45 km/h est donc doté d'une arme de superbe performance.
Plus efficace, la systématisation de l'emploi de canon de 25AC sur Laffly, et surtout la production enfin fiable des Laffly W15TCC, conjuguée à une nouvelle motorisation et une transmission plus robustes augmentant puissance et vitesse.


Il est également développé une tourelle automatique. Celle-ci est équipée d'une mitrailleuse Reibel BSF (Bande Sans Fin) à canon modifié et rallongé.
Un système ingénieux permet l'approvisionnement en munition en continu.
Lors des premiers essais, cet armement est placé sur une chenillette UE, le système étant monté sur une plaque soudée sur le coffre arrière (solution s'apparentant plus à du bricolage qu'à une quelconque industrialisation).
Malheureusement, l'ensemble présente quelques problèmes. Le peu de place réservé au système impose de lourdes opérations de maintenance en cas de soucis.
De plus, le manque de munitions traçantes se traduit par un manque de précision lors des tirs. Ces défauts seront corrigés bien plus tard.


Le défi principal réside dans l'utilisation de véhicules d'intervention rapide conjuguée à des véhicules plus lents comme l'Unic précité ou les quelques AMR 39 ZT 2 surblindées. Au bout de deux mois, certains choix seront abandonnés.

Le service de développement reprend à son compte le projet du Renault SC 40 (Note DGA 1937-34-456 bis).
Il s'agissait lors du début des études, en 1937, d'adapter la motorisation des chars Renault à train de chenilles raccourci sur un châssis de conception entièrement nouvelle. L'objectif étant de réaliser un Semi Chenillé destiné à remplacer l'ancienne série des Somua.
Finalement, la partie avant sera elle réalisée sur une base d'avant train de Laffly.
Le STD (Service Technique de Développement) réalise rapidement 4 prototypes qui présentent d'excellents résultats lors des quelques essais réalisés.

Le SIMu (Service Inter Munitions) est créé avec pour but de développer de nouvelles munitions, d'essayer de standardiser si possible celles-ci pour les 3 corps d'armée, pour les petits calibres dans un premier temps.
De ce service naitra plus tard le fameux Canon de 25 AC embarqué sous le ventre de nos avions de chasse.
Un système révolutionnaire par retour d'énergie permettra en parallèle l'accroissement de l'utilisation de munitions à très haute vitesse initiale et haute perforation.
Ce service existe toujours: (https://fr.wikipedia.org/wiki/Service_i ... _munitions)

De cet atelier sort aussi le Somua S40/75 avec le nouveau canon de 75 HP (Haute Perforation).

Sous l'action du lieutenant-colonel Fériaud, le SESI (SErvice SIdérurgique) élabore à partir de tôles HLE (Haute Limite Elastique) et par ajout de Magnésium un alliage possédant un pouvoir de protection balistique multiplié par 2.50.
De plus, ce nouvel alliage permet un gain de poids non négligeable grâce à une densité proche de 5 (7.85 pour un acier de base).
Le principe étant que la déformation acceptée par cet alliage absorbe une partie de l'énergie et de la puissance développées lors d'un impact.
La production de ce nouvel alliage est réalisée sous un cycle assez court, avec une mise en œuvre peu évidente et très faible au début.
Cependant elle permet rapidement d'améliorer les blindages des canons "embarqués".

Suite au retour d'expérience et à l'analyse des difficultés rencontrées en Mai 1940 notamment, un autre service basé à Toulon déploie de nouveaux postes de transmissions.
Des progrès énormes sont réalisés dans la miniaturisation des composants et le développement de nouvelles batteries.
Ces travaux permettront un équipement radio porté à 78.5 % sur les véhicules utilisés.

Tous ces efforts conjugués mènent à l'accélération de la création de la 1ère DIDL (Division d'Intervention Derrière les Lignes). Cette nouvelle division fait très rapidement ses preuves au combat, occasionnant par de nombreux coups d'éclats de lourdes pertes à l'ennemi. La création de telles unités sera reprise par la suite par les Britanniques afin de donner une nouvelle impulsion à la guerre dans le désert, les célèbres LRDG.

Le 20 Septembre 1940, une première contre-offensive est déclenchée au nord du Mont Ventoux, à Buis les Baronnies.
Elle enfonce par surprise les faibles défenses Allemandes et remonte aisément sur Vaison La Romaine, Valréas, puis Orange.
Accélérant sa poussée audacieuse, la 1ère DIDL conquiert par la suite le nord de la Vallée du Rhône.
En parallèle, la seconde Division sème elle aussi la panique en remontant par l'axe Angoulême - Poitiers - Tours.
Le Massif Central sera lui déverrouillé plus difficilement, il cédera enfin lorsque les 2 divisions se rejoindront entre Bourges et Nevers.

Les Allemands payent dès lors leur choix de dégarnir le front du Sud de la France. Ils chancèlent et ne se remettront jamais de ce retournement de situation.

Bref, il suffit d'un peu d'imagination.................

"On les aura" !!....

Pascal