canon… noir ou pas noir ??

Pour revenir sur les sujet voici l'article que j'avais écris avec André Dulieu su les idées reçues dans Minitracks n° 8 ancienne formule :









Pascal   

Merci Pascal ! je vais étudier cela !
  

Bonsoir   

Le sujet a amené à une bonne partie de blagues. Qu'est ce que vous m'avez passé?! et après on les appelle ça des copains    des voyous oui    

Amicalement
@+ Yves

 

Non un DUKW !!!

Euh, juste une petite question, de quelle couleur doit-on peindre l'intérieur du canon à ce moment là ?

Perso  ,j'utilise du noir bien mat pour donner un effet de profondeur et de trompe l'œil . 

idéalement, cela devrait etre du metal noirci, ou noir métalisé, mais à cette échelle, noir me semble tout aussi bien pour marquer la profondeur, comme le dit Remy.

OK merci, je vois comment je ferais sur mes canons à l'avenir.   

Bonjour   

Quand je regarde l'intérieur du canon d'une arme ou d'un char, c'est métal nu, donc; gun métal + petite pointe alu.
Le canon du "Leclerc" a même un revêtement intérieur chrome, qui lors des premiers essaies est parti avec l'obus. Il a fallu du temps pour maitriser la technique pour que ce revêtement tienne bien.

Amicalement
@+ Yves

pour info:

C'est un canon de quoi ?
Et quelel est cette gachette qui dépasse à gauche ? à quoi sert-elle ??

avé "César"!

Une bien belle grosse bête !

Merci pour l'article Pascal.
Fort riche en infos....

Oui l'article est très intéressant.

Je pense cependant que les combats de chars étaient bien différent en 39-45 d'aujourd'hui, ou la guerre tactique et technologique prime.
Les chars étaient très souvent en contact direct, se combattaient aussi en ville (gravats, explosions, poussière, mitrailleuses), et la dégradation des engins étaient bcp plus rapide. De plus les matériaux, comme les métaux utilisés, étaient bien moins bons et rouillaient certainement très vite une fois la peinture de protection écaillée.
Prenez l'exemple de l'aflaromeo ALFASUD dont la carrosserie était faite à partir des stocks de carcasse de chars de la guerre, fondus et recyclés : elle rouillait avant meme de sortir de l'usine ! (sauf erreur)

Après, comme cela est justement indiqué, tout est question de choix artistique.

alfasud   en effet acier russe recyclé ,mêmes symptômes sur austin alégro & maestro et....
championne française de la rouille la r14!

Ne te méprends pas, un tigre pouvait allumer un sherman avant même d'être repéré. Les chars avaient un durée de vie très courte de toute manière.

Les peintures militaires sont faites pour résister, et comme expliqué dans l'article, les équipages chouchoutaient leurs chars. J'ai eu des témoignages où les vétérans m'ont expliqué que leur première tache était de nettoyer le char et de l'entretenir avant même de manger ou de dormir.

Et puis regarde les engins de chantiers, certain un bon nombre d'années au compteur et au final peu de traces de rouille. Pourtant, les conditions d'utilisation ne sont pas très éloignées de celles des combats urbains...

Mais comme il est dit dans l'article, l'important est de se faire plaisir   

Pascal

Bonjour   

@ Nico; "la dégradation des chars était beaucoup plus rapide". Pour sur un char allié qui prenait un coup de 8,8 ou de panzerfaust était dégradé!!
  

Amicalement
@+ Yves

Hahaha

Pascal a écrit:

Les peintures militaires sont faites pour résister, et comme expliqué dans l'article, les équipages chouchoutaient leurs chars. J'ai eu des témoignages où les vétérans m'ont expliqué que leur première tache était de nettoyer le char et de l'entretenir avant même de manger ou de dormir.

Et puis regarde les engins de chantiers, certain un bon nombre d'années au compteur et au final peu de traces de rouille. Pourtant, les conditions d'utilisation ne sont pas très éloignées de celles des combats urbains...

Mais comme il est dit dans l'article, l'important est de se faire plaisir   

Pascal

 
Tout à fait d'accord.
L'acier à blindage ne rouille que très peu, et la rêgle d'or, dans beaucoups d'armée, est de remettre en condition le matériel avant l'homme.
Je me rappelle des séances de nettoyage après mission ou entrainement que devaient se taper les copains des batteries de tir sur leurs mortiers de 120 ou leurs pièces de 155, pas une trace de rouille ne pouvait apparaître.

la preuve

Je suis bien d'accord avec tout ca, et je trouve d'ailleurs cela très intéressant.
Mais ca ne signifie pas qu'en 44 tous les chars qui roulaient étaient briqués en permanence.
Nombre de photos témoignent de chars très abimés.

dés qu'ils étaient en repos, car d'autres unités les relevaient pas toujours
sur la brèche, première chose matériel et armement